Dans un silence trop parfait

Arakielle marchait paisiblement, Givre, son chaton, sur les talons. Elle avait été chargé de laver la literie et certains vêtements. La journée étant belle, elle décida d'accomplir sa tâche à la rivière. Kielle traînait donc sur son dos un lourd sac de jute remplie de choses à laver. C'était difficile, mais elle y arrivait. De peine et de misère, elle réussit à parvenir jusqu'à l'eau de la rivière. Paisiblement, elle déposa son fardeau et en sortie un autre sac qu'elle déposa de l'autre côté. Givre se roula en boule et ferma les yeux en ronronnant. Il était habitué à ce genre de chose. Agenouillée, Kielle sortie un premier vêtement et la brosse. Elle prit la planche de métal et l'installa pour pouvoir mieux nettoyer. Un air dans la tête, elle se mit à laver le tissus avec rigueur. Le bruit de la brosse mêlée au chaut des oiseaux et au bruit de la rivière s'écoulant avait quelque chose d'apaisant. Elle ferma les yeux, son visage pâle livré au soleil flamboyant. Le chaton ne cilla pas d'un pouce. Elle suspendit ses gestes un instant, inspirant profondément l'air frais puis rouvrit les paupières pour poursuivre sa tâche. Elle tordit le vêtement de son mieux pour l'enfouit dans le sac vide. Elle sortie un autre morceau du sac de choses à laver et reprit ses gestes. Il faisait chaud, très chaud. Après une heure de travail, elle termina avec une taie d'oreiller. Quand elle fut dans l'autre sac, elle rinca celui qui avait contenu la literie et les vêtements à laver puis l'enfouit dans l'autre. Arakielle regarda le soleil. Il avait encore un peu de temps avant qu'elle doive retourner au château. Givre la regarda donc retirer ses vêtements après avoir préalablement vérifier qu'il n'y avait personne dans le coin puis guetta son entrée dans l'eau froide de la rivière. Elle plongea sous l'eau pour se rafraîchir, cela lui fit un grand bien. Arakielle ne s'éloigna pas trop de la berge car elle ne savait pas nager. Elle remonta sur la terre ferme après un bon moment et s'étendit au soleil pour se faire sécher. Sa peau sèche, elle se rhabilla et releva sa jupe pour plonger ses pieds dans l'eau sans mouiller ses vêtements. Elle resta sous le soleil, Givre à son côté, endormi, contemplant les merveilles de la nature l'entourant. Elle songeait à son avenir. Les domestiques se mariaient très rarement, ferait-elle partie du 1% auquel on accorderait ce droit? Ou vivrait-elle à jamais seule? Avec un haussement d'épaules, elle se dit que c'était sans doute mieux ainsi. Elle ne serait pas détourner de sa tache première de servante. Le roi avait été si bon de l'acceuillir dans son château au lieu de la redonner à sa mère cruelle.

Boby apparru devant la servante et lui dit
-Bonjour...comment aller vous par cette belle journée?...
puis il pensa qu'il ne c'était pas présneter..
-Je suis Boby d'emeraude , j'occupe le poste de maitre-magicien...

Arakielle tourna son beau regard vers lui et le scruta un moment. C'était assez étrange une personne qui apparaîssait comme ça et vous parlait comme si vous étiez des copains d'antan. La servante se contenta d'avoir ce sourire adorable dont elle avait le secret. Elle mima de ses doigts un "bonjour". Givre avait sursauté à l'apparition et avait sauté sur les cuisses de sa maîtresse. Celle-ci caressa tendrement son pelage blanc un court instant et tourna de nouveau son visage pâle vers Boby.

- Mon nom ne ce dit pas dans la langue des signes, fit-elle en des arabesques de ses mains et de ses doigts, mais il signifie dans l'ancienne langue des Dieux "enfant du sang". Vous êtes maître-magicien au palais ou...? Car je ne crois pas vous avoir déjà vu au château.

Elle prit un air songeur en fronçant légèrement les sourcils. Elle fouillait sa mémoire qui lui faisait parfois défaut. Non, elle ne se rappelait vraiment pas. Givre baîlla sans retenu en s'étirant.

-oui je suis au palais..... êtes vous née muette ou est-ce arriver comme sa ...???? c'est vraiment domage.......car vous êtes asser belle.......je me demande si les dieu pourrais m'accorder le pouvoir de vous donner la voie... si vous le désiré.....bien sur....

Arakielle regarda Boby. C'était bien peu délicat de lui poser la question ainsi alors qu'ils ne se connaissaient que depuis à peine quelques secondes. Surtout qu'un handicap faisait bien souvent parti des cordes sensibles de la personne l'ayant. La servante mit un peu de temps avant de se remettre du choc que lui causa la soudaine question et surtout la familiarité et la presque désinvolture avec laquelle elle était posée. Kielle soupira et regarda Givre qui ronronnait sur ses cuisses. Elle le prit dans ses bras et se leva, frustrée et surtout chagrinée qu'on lui parle de son léger handicap ainsi tout bonnement.

- Je suis née muette. Et qui a dit que ma condition me déplaisait? Moi au moins je ne regretterai jamais une parole que j'aurai dite.

Le reproche luisant dans ses yeux, elle lui tourna le dos. Sa fabuleuse chevelure rousse flotta gracieusement dans le vent. Sa rancune s'estompa d'un coup. Elle reprit l'écoute de ce qu'il venait de dire dans son esprit. Lentement, elle se tourna vers lui. Son regard troublé plongea dans le sien. Elle ne put s'empêcher en des gestes saccadés et hésitant de demander :

- Venez-vous de dire que je suis belle?

Elle était visiblement très troublée par la déclaration. À en croire jamais personne ne lui avait dit pareille chose. Arakielle détourna les yeux, trop timide pour confronter le regard de celui qui venait de la complimenter et qu'elle avait si méchamment réprimander. Elle qui n'était que servante, pour qui se prenait-elle d'agir ainsi envers un maître-magicien? Mais le compliment... C'était nouveau comme chose pour elle. Ses joues s'embrasèrent tandis que Givre collait doucement son oreille contre le sein de sa maîtresse qui évitait toujours soigneusement de regarder le thaumaturge en face. La honte la rongeait tout autant que la crainte d'un châtiment. Elle avait réagit bête. Elle méritait sans doute une punition. Un frisson la parcourut.

-Je ne voulais pas vous vexer..... et oui je vous trouve ravissante... si je vous parle ainsi c'est car servente ou pas je vous respect car je sens en vous quelque chose d'étrange .... mais étrangement bon....dit-il en rougissant........

Arakielle inclina la tête sur le côté adorablement. Elle revint doucement vers Boby et s'arrêta quand même assez près sans pour autant le frôler. Ses beaux yeux remplis d'incompréhension plongèrent dans les siens. Givre observa les deux individus.

- Pourquoi rougissez-vous? C'est plutôt moi qui devrait le faire.

Kielle vit une mèche rousse passer devant ses yeux. Elle la replaça d'un geste désinvolte.

- Je ne vois pas quel intérêt vous pouvez avoir pour une simple servante... À moins que vous ayez une faveur à me demander?

- loin de la mon intention... mais je ressent une certaine attirance pour vous.... dit-il en la regardant droit dans le yeux ... puis sous une pulsion innexpliquer il l'embrassa....

Arakielle fronça légèrement les sourcils. Une certaine attirance inexpliquée? La servante comprit immédiatement ce qu'il voulait. Elle ne pouvait pas refuser une demande faite pas quelqu'un d'aussi important. Quand il l'embrassa, elle sursauta et le repoussa nerveusement. Elle recula d'un pas et le scruta longuement, l'air troublée. Elle secoua la tête et baissa les yeux en croisant les mains. Givre miaula en levant les yeux vers sa maîtresse.

- Pardon, je ne m'attendais pas à cela, expliqua-t-elle sans oser le regarder en face.

- je suis désoler de vous avoir brusquer... ce geste était spontanné... mais a répeter... dit-il en rougissant

Arakielle s'approcha de lui doucement et prit son menton entre ses doigts fins. Elle sourit et plongea son regard rassurant dans le sien. C'était tellement rapide. Il ne pouvait vouloir qu'une chose et c'était peut-être sa seule chance de connaître physiquement parlant un homme.

- Pourquoi ne pas le faire alors?

Elle se hissa sur la pointe des pieds et posa ses lèvres sur les siennes dans un baiser tendre et doux. Kielle passa ses bras autour de son cou et prolongea leur baiser, les yeux clos.

Boby la pris par la taille et ferma les yeux de délice...... puis il passa doucement sa main dans les cheveux roux de kielle....

Arakielle frissonna sous ses doigts. Un frémissement tellement doux... Givre bondit dans un buisson, n'osant pas s'imposer. Kielle entraîna doucement le maître-magicien vers un endroit plus tranquille. Rendue là, elle l'entraîna sur l'herbe verte avec elle. Son baiser devint plus passionné. Elle glissa doucement ses doigts sur sa peau en des gestes langoureux. Elle éloigna un instant son visage du sien et lui sourit paisiblement. La servante était plutôt intimidée... Elle se sentait tellement maladroite. Elle reprit possession de ses lèvres avec fougue, son corps sous celui de Boby.

Xellane apparut dans un tourbillon d'étoiles rouges non loin de là, et lorsqu'ele vu Boby "occupé" avec un charmante demoiselle, elle se dit à elle même:

" Oups! Je crois que je les dérange...!"

Nathir commença à pleurer dans ses bras. Ele s'asseya sur le sol, le berça tout en lui chantant queleus petites berceuses et attenderait pour remettre l'enfant à Boby...

Boby n'ecoutais que les pultionjs de on corps......il l'embrassadans le cou. partout sur le visage.........puis l'image de duram et nathir apparus dans sa tête......puis il ne pu repousser kielle elle...était trop attirante......

Xellane s'appercut alor qu'il fallait qu'elle change la couche de Nathir... Et s'était disons un peu dificile dans cet environnement! Mais elle fit du mieux qu'elle put, tout en chatouilant Nathir qui riait aux éclats à présent.

Arakielle qui n'avait aucun pouvoir magique ne remarqua même pas les autres présences près de là. Avec un sourire timide, elle le débarassa de ses vêtements et embrassa chaque parcelle de sa peau avec une tendresse immense. Kielle était un puit de douceur que se déversait de par son corps. Ses lèvres et ses doigts portaient une douceur mielleuse. La servante défit lentement son corsage et s'abaissa pour embrasser de nouveau Boby, mais les pleurs d'un enfant la firent arrêter. Givre jaillit des buissons et vint rejoindre sa maîtresse.

*Oh dieux!*

La servante ressera prestement son corsage et se leva. Elle retourna à la rivière et prit le sac de vêtements avant de s'enfuir vers le château. Un sermont de la part de Carduel l'y attendait certainement. Le chaton sur les talons, elle s'enfuit vers le palais. Elle avait bien failli connaître un instant amoureux.

*Tant pis! Je préfère ne pas goûter les joies de l'amour...*

Elle resongea aux baisers de Boby et se mordit la lèvre inférieur. Était-il trop tard pour renoncer si près d'effleurer un ciel? Chassant ces pensées de son esprit, elle se précipita sur le pont-levis et entra dans la cour intérieur avant d'entrer dans le château.

Lorsque Xellane eut terminée ses petites affaires, elle remarqua que la demoiselle dont mangeait Boby des yeux était partie... Elle alla poser le bébé dans les bras de Boby, le remercia brièvement, aprè;s de partir à la recher de la femme... Elle l'intriguait, et lui rappelait étrangement quelqu'un.

Elle la suivie donc jusqu'au palais royal.

Boby regarda Nathir... il était si mignion... et il ne l'avais meme pas conçu avec une femme et il étais a un fil de faire l'amour a une femme.......***Xellane, Vien vite***l"appela t-il par la pensé........

Une personne lumineuse arriva aussitot et lui dit
-merci d'avoir concus cet enfant au dépant des dieu....

-Quoi?! alors si j'ai fait tout sa avec Duram ce n'étais..que pour les dieu.......Alors voila pourquoi j'était attiré par cette magnifique femme....

-Exactement........mais cet enfant est spécial.......et la vie retrouvera son cours normal.......vous ne ressentirez vous et duram que ..comment...dites vouz?... a oui de l'amitié... mais vous serez tout les 2 tres proche...Au revoir..
La divinité disparu avec l'enfant.....

hj Voila jai éditer

Il fit réaparaitre la divinité

-Vous ne menlèverez pas mon enfant.

-C'est enfant n'est pas faite pour être élever par le humain.

-Je ne suis pas un simple humain je suis un demi dieu allors redonner moi mon enfant.

Je vois. Allors je vais te le redonner mais un seul éreur et je vien le reprendre.

-D'accor

La divinité lui rendu son enfant pluis disparu et lui aussi parti avec son enfant.

» Dans le couloir